jeudi, janvier 08, 2015

jeudi, janvier 16, 2014

Tiens j'ai fait un rêve étrange ce matin ...
J'ai rêvé que j'avais un accident de voiture (Je vous préviens au cas ou ...)
Tout est en vrac. Il fait noir, je me souviens que je ne sens plus mes jambes ...ou en fait mon corps même. Seuls mes bras et ma tête semblent mobiles.
Je n'ai pas mal. Je me sens juste fatigué. Je regarde vainement autour de moi mais je ne vois strictement rien !
Au lieu de crier à l'aide ou d'essayer de bouger, je me dis : Tiens, cela va me permettre de me reposer!

Je ferme les yeux.
Je me sens aspirer.

Ça y est. Ça y est.
Ça y est.

jeudi, janvier 09, 2014

Chapitre XXIV : Stabat Mater y Alisation




L’impact fut  brutal.
Bien évidemment, la ré-matérialisation se fit quelques microsecondes avant le point de chute, ce qui fait que j’eus entièrement le temps de bien sentir les terminaisons nerveuses recevoir le signal de percussion corporelle contre la matière rugueuse, froide et  dense qui ressemblait à du béton.

“Aiiiiieuuuu !!!!” fut ma première pensée. Je ferme les yeux par réflexe en me disant que si je ne la vois pas, la douleur disparaîtra d’elle-même  mais comme je la sens bien (et pas d’image incongrue s’il-vous-plait), je ne doute point de son indéniable présence.
Un mal de crâne bien pénible irradie derrière mes orbites tandis qu’une envie soudaine  d’évacuer  une bile quelconque et autres restes du dernier repas via la trachée me monte aux lèvres.
Je me retiens en tentant de me relever du mieux que je peux. Alors que je regarde encore mes pieds et que j’aboutis à la stature dite « debout », une voix s’élève :

-      Dites donc Ultimo, vous ne seriez pas en train de vous gausser de nous ? 

-       Qui ? Moi ? 
-       Oui vous !
- …
-      Oui …Vous !!

-      J’avais déjà compris la première vous savez,  … et donc  … vous attendez quelque chose de moi ? un truc à faire ?  des affaires à déménager ? péter la gueule à quelqu’un ?
-      Pourquoi toutes ces questions ?
-      Et bien en général, si on m’appelle c’est souvent pour répondre à ce genre de questions … sinon je n’ai pas vraiment d’appel … ou une quelconque vie sociale … De toute façon, à la base, je n’aime pas les gens. Bon vous me direz que c’est peut-être que c’est parce que je ne m’aime pas non plus et intrinsèquement, je vous dirai que ce n’est pas faux.  Je n’ai pas vraiment eu d’enfance malheureuse mais pas non plus méga-heureuse … une enfance plutôt médiocre finalement … et c’est pour cela que j’ai besoin d’exorciser ce manque d’intérêt flagrant dans ma vie de tous les jours . Alors forcément, j’aime foutre des baffes  ou des accolades bourrues, histoire de me dire que j’existe encore, histoire de toucher de la matière et d’être capable de sentir quelque chose d’une autre façon que par les sentiments quoi … 
-       …
-      en fait je suis un grand sensible finalement  … donc je vous écoute ??
-      J’ai parfois l’impression de ressentir une certaine forme d’ironie malveillante dans ce ton mielleux et néanmoins dénué de diabète …
-      - Non , non … peut-être un petit côté blasé mais  bon faut voir dans le monde de merde dans lequel on vit aussi … »
J’essaye, subtilement, d’essayer de repérer d’où vient cette protubérance sonore mais il y a comme une lumière nucléaire qui me brûle les rétines et qui m’empêche de  bien me concentrer sur d’éventuelles silhouettes susceptible de me donner des indices quant à la présence physique de cette voix, je  ne vois que des tâches psychédéliques multicolores, tel le jeune étudiant studieux  de 17 ans que j’étais, hypnotisé à la Taverne de Nesle à Paris regardant le spectacle Live  de Pink Floyd à Pompéi …

-      « Il suffit ! Ton impertinence risque de te jouer des tours ! N’oublie pas  que je suis responsable de tes errances et autres dématérialisations récentes !!

-      Justement, à ce propos, ce n’est pas super gentil quand même ! Je n’ai assassiné personne, enfin pas encore !
-      C’est précisément pour cela que nous tentions de rentrer en contact avec toi.
-      Remarquez, j’ai bien senti le contact quand même …
-  Assez !
       -  …
       -  Tu as été choisi pour intervenir. Tu as été sélectionné pour modifier certaines choses dans un espace temporel choisi mais ce ne sera pas si facile. Nous ne pourrons t’indiquer ce qu’il faut faire. C’est à toi et toi seul de prendre la décision qu’il incombe. Sera t-elle la bonne ? Tu ne le sauras peut-être pas ou bien tu t’apercevras vite de ton erreur mais il faudra l’assumer et accepter tout ce qui va en découler.
  - Et si je » Je ne peux même pas finir ma phrase car une pression invisible vient de m’enfoncer le sternum 2 cm plus profondément dans la cage thoracique.
- « Tu ne peux refuser et  tes missions commencent immédiatement ! »

A peine la phrase finie, je me sens à nouveau emporter dans un vortex qui me paraît liquide même si je respire encore (enfin je pense). Impossible de résister à cette force qui m’aspire, m’emprisonne et me faire tourbillonner à m’en faire vomir ( je hais les manèges qui tournent ou les trucs genre bateau-pirate qui te remontent l’estomac jusqu’à la glotte ). Ce milieu supposément aqueux n’estompe portant pas la douleur au niveau du bras qui ressurgit !  Des lanières  de peaux s’extirpent de mon avant-bras tandis qu’une chaleur en irradie ! Telles des algues assassines, elles semblent vouloir m’étrangler ! Au moment ou je crois étouffer définitivement de ce mélange de plantes aquatiques et de liquide au relent salin, j’émerge d’une vague gigantesque et je me retrouve en lévitation entre Ciel et Terre.

J’ai du mal à me situer dans ces premiers instants. Je reprends mon souffle, j’essaye de trouver un point de repère mais  le vent et l’eau qui me fouettent encore le visage et le corps m’empêchent de réaliser ce qui se passe vraiment.

J'écarquille les yeux et je tente d'apercevoir un détail qui me permette de me situer.

Il pleut tellement et le vent souffle si fort. Un bruit intense m'envahit. Les pieds dans le vide, je réalise alors que ce n'est pas que de la pluie car les gouttes me laissent un goût salé sur la langue. 

Je suis au bord de la mer.
Je suis dans la mer ou plutôt juste au dessus, à quelques mètres au dessus d'un océan, à une centaine de mètres de la côte. 
Car j'aperçois quelques lueurs au loin et se dessine au loin une sombre silhouette de falaises.

C'est la tempête.


Je crois reconnaître l'endroit. C'était il y a si longtemps et pourtant je me souviens de tout.

Bizarrement, ou inconsciemment, mon corps semble avoir compris le calcul logistique de mon cerveau. Ou bien est-ce l'inverse ?
J'essuie l'eau sur mon visage car tout est flou et brouillé par ces larmes artificielles.

Quelqu'un est en haut de la Falaise. Et mon cœur se met à accélérer. Je n'arrive pas à voir qui est cette personne mais une conviction intime perturbe mon rythme cardiaque. Mon cerveau s'affole. Mes jambes tremblent. Heureusement que je suis encore en lévitation car je crois qu'elle n'aurait pas supporté mon poids.

Je m'attends au pire.
Des sueurs froides me transpercent alors que je suis déjà trempé jusqu'aux os.
Mon corps intensifie sa vitesse pour se rapprocher d'elle.
Je la reconnais. Cela faisait des années que je ne l'avais vu et pourtant tous les souvenirs ressurgissent tel un geyser de quiétude.
Elle essaye de prendre des photos des vagues immenses de la mer déchaînée.

Je crie de toutes mes forces pour la prévenir.

Elle n'entend rien.
Elle regarde la mer avec plaisir et sans frayeur.
Je ne m'entend même pas. Le bruit est assourdissant.
Les vagues se fracassent sur la falaise et montent à des dizaines de mètres dans les airs.
J'hurle son nom.
Elle regarde vers moi mais ne croise pas mon regard. Je ne sais même pas si elle me voit.
Un gars flottant dans les airs avec un bras en feu en pleine tempête devrait au moins la faire sursauter un peu ... ou au moins mériterait une photo.

Au moment ou je m'approche d'elle à quelques centimètres, une vague gigantesque absorbe le temps d'un instant un morceau de la falaise.


Précisément celui où Elle se trouvait ...


La vague me traverse, Son corps aussi mais j'arrive malgré tout à la retenir.

La Gravité nous emporte et nous plonge dans un bouillonnement soudain silencieux.

Le Froid m'envahit. Elle se débat mais ne semble pas me toucher. Je regarde profondément dans ses yeux et malgré toute cette eau, j'arrive à y voir quelque chose que je n'aime pas.


De toutes mes forces, je tente d'inverser cette molle chute inexorable. 

Cet instant dure pour moi des heures même si je sais qu'il n'a duré que quelques secondes en réalité.

J'arrive à la ressortir de cette mâchoire assassine en remontant avec la seconde vague.

Je la dépose sur la terre ferme en la repoussant le plus loin possible du bord.

Elle ne me voit toujours pas. Mais je crois qu'elle me devine, ou du moins qu'elle ressent une présence.

Elle avance d'un pas en tendant la main, puis recule de trois. Un instant d'hésitation infime. Elle me tourne le dos et s'enfuit.

Je suis épuisé et pourtant je sais que je pourrai le refaire immédiatement s'il le fallait.

Ce n'est plus la vague mais les souvenirs qui me submergent.
La lévitation m'abandonne. Je m'écroule dans la boue et l'herbe souillée.

Les spasmes prennent le relais et tentent d'évacuer un surplus d'émotions sans doute.

Je la cherche du regard mais je ne la vois plus.
Ma vision est embrouillée par la pluie, par les larmes, par les restes des déferlantes qui continuent de s'acharner sur la falaise.



Mon esprit régurgite tous ces souvenirs enfouis relié à ce lieu, relié à Elle.

J'ai perdu quelque chose, irrémédiablement.
Ma peau brunit à nouveau et commence à s'intégrer au sol. Lentement, la boue semble m'absorber.
Je ne lutte même pas.
Au moment où la terre et l'eau pénètrent dans ma bouche, des picotements vrillent de tous côtés sur mon épiderme.
Une chaleur intense irradie alors qu'un instant auparavant je pouvais sentir le froid me glacer les os.

La désintégration s'opère à nouveau.

J'essaye de l'apercevoir une dernière fois mais elle est déjà partie.

Tout bascule.



 
 
 
 
 


 
A la mémoire de P. S. partie trop vite, emportée par une vague scélérate un 28 Octobre. 
 
 


 

vendredi, mai 17, 2013

Paix à son Âme : Chapitre XXIII : L’abus du « tel » est mauvais pour les neurones …

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Le mélange Samantha / Sculpture Césarienne/ Peau Noire / Apesanteur / Etat Sœur fut explosif.
L’impact fut tel qu’au moment ou je tentais de l’approcher  ( la susdite Samantha, en tout bien tout honneur bien évidemment) , elle voulut se retenir à moi l’espace d’un instant mais je ne pus que sentir ses ongles pénétrer dans ma chair tandis qu’elle essayait de récupérer un approximatif équilibre devenu inexistant puisqu’elle lévitait sans tenter le moins du monde de m’éviter !
Je reprenais mon souffle ( elle est quand même longue la phrase précédente !).
La Garce Oiseuse pensais-je à peine,

“Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?
Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire,
Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,
Tant de fois affermi le trône de son roi,
Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?
Ô cruel souvenir de ma gloire passée !
OEuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !
Précipice élevé d'où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voir triompher le comte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Comte, sois de mon prince à présent gouverneur;
Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur;
Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne
Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne.
Et toi, de mes exploits glorieux instrument,
Mais d'un corps tout de glace inutile ornement,
Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
M'as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le dernier des humains,
Passe, pour me venger, en de meilleures mains.”1

Mais j’eu rapidement souvenance que Corneille avait déjà écrit cette tirade quelques années auparavant … mais je m’égare, poursuivons :

Des lambeaux de chair de mon avant-bras flottaient au vent absent, tel un étendard déchu lors d’une sombre guerre , telles des tentacules d’une pieuvre vorace.
Etrangement, cela ne saignait pas et aucune douleur ne suintait de mes lacérations « samanthaesques ».

Je réalisais alors que le temps semblait en suspens.  On flottait au ralenti ! J’avais l’impression de me déplacer … sans bouger les jambes.
 Je ne savais pas si les autres avaient conscience de cet état, de ce possible enfer car ils restaient figés,  tétanisés, les yeux fixes  et le filet de bave aux commissures des lèvres, tels les spectateurs regardant “ Au théâtre ce soir” sur FR3, traumatisme de mon enfance.

Je m’obligeais à essayer de me défaire de cette apesanteur spatio-temporelle et, à ma grande surprise, j’y réussissais !  Et oui je suis comme ça moi et soudain, me revenait à la mémoire des bribes de mon passé lorsque mon père me disait ces vieux dictons provinciaux du genre : « Tu vois … Tu peux quand tu veux »,  ou bien  « Si c’était pour faire ça, c’était pas la peine ou encore », ou «  C’est ni fait, ni à faire !! » et encore : « Je travaillais comme cela quand je me suis fais virer ! » 
Mon premier réflexe fut de ramener mes  « langues de peau » sur mon bras  afin de calfeutrer une hémorragie inexistante (les réflexes quoi …)  et elles se ressoudèrent instantanément !
« Suis-je l’élu ? » fut la pensée qui me vint à l’esprit mais qui disparut aussitôt car au même moment, la cicatrisation  immédiate m’apporta une méchante décharge électrique qui me fit courber l’échine et  pas mal d’autres choses. Je me promettais de faire gaffe à mes prochaines pensées et autres actions suite à ma transformation internationale.

Doucement, je me sentais redescendre sans avoir le moindre contact avec le sol . Mon premier réflexe ( et ouais encore …) fut de déplacer Samantha à l’écart de cette sculpture maléfique. Telle une bibliothèque sur roulettes je la replaçais au sein des amis, pressentant une quelconque protection  au moyen des ondes cérébrales ou autres délires new-age …
Le reste du groupe ne regardait même pas dans notre direction. D’ailleurs ils ne regardaient rien, comme s’ils n’avaient jamais été conscients de tout ce qui s’était passé.
Cela s’était fait si vite, sans bruit ( enfin je ne me souvenais pas du moindre bruit suspect – en un mot svp).
En fait, je n’arrivais pas à comprendre ce qui s’était vraiment passé et ce que je faisais ainsi à 10 centimètres du sol, tel un Barbapapa anorexique.
Je me décidais donc à essayer de toucher le sol tout en espérant ne pas me faire téléporter encore une fois dans une autre pièce à la vitesse de l’éclair !

Et c’est là que je commis la boulette.

Le contact fut rapide et brutal. La fulgurante impression de recevoir un piano à queue de 535 kilos sur le dos en un dixième de seconde.  

Les discussions du groupe se manifestèrent à mes oreilles tandis que je réintégrais le monde réel.
Ce retour me fit mal  au corps  et au cœur : toutes les douleurs des derniers instants rentraient à nouveau dans toutes mes fibres comme si ce retour  spatio-temporel  se souvenaient qu’elles existaient et qu’elles devaient aboutir dans un système nerveux au plus vite afin de faire leur travail.
Je pliais un genou et des larmes coulèrent en un flot rapide, intense et bref  ( et oui l’émotion a parfois emprise sur moi …). Du sang s’échappa de mon avant-bras naguère blessé même si aucune plaie n’était là.
Un grand bruit m’extirpa de ma torpeur dolorienne tandis que je reconnaissais la voix suave et empreinte d’érotisme exotique de Zav :
-       « Fais gaffe merrrrdddeeeeeuuu ! T’es bourrée ou quoi ? »

Samantha s'était lamentablement écroulée sur Sieur Zav. De biens belles positions comme on aimerait en voir plus souvent mais qui ne semblaient pas avoir l'effet non escompté puisque ce n'était que pur hasard et maladresse sensorielle de mon humble part.

J’avais omis que la lévitation, due à son caractère de flottement imperceptible, avait du déplacer un peu plus que je n’avais prévu  le corps voluptueux  de Dame Samantha, ce qui eut comme résultat, non pas la poussée d’Archimède ou le triangle de Pythagore mais plutôt la gueulante de Zav suite à la gravité newtonienne qui amena au déséquilibre de notre Grand Briard Blond aux deux chaussures noires.

La Demoiselle effarouchée ne perdit que peu de temps  pour placer :
« T’as parlé ou t’as pété ? »

Je n’eu même pas le temps d’esquisser un sourire que je me sentais encore muter !
Mais Merde …

je me dématérialisais ….








1 -  Le Cid, extrait acte I, scène 4 -  Pierre Corneille

mardi, avril 30, 2013

Ouais bon ça va ... y en a qui bossent là ...

Bon faut que je m'y remette !!!
Certain(e)s se manifestent ( hein kriKri ?)  .... laissez-moi quelques semaines que je me rafraîchisse la mémoire et que je m'échauffe les méninges et les doigts !


Allez la bise !

vendredi, avril 13, 2012

Peut-être bientôt ...

Deux ans moins un jour et cela tombe un Vendredi 13 quand je pense à refaire un tour sur ce blog blobesque oublié ( si si ...un peu quand même !)
Je continue toujours à écrire mais à l'ancienne ... sur un cahier quoi ! Je n'ai pas encore trouver l'envie de le publier ...
Peut-être trop intense  ou trop personnel ...voire trop révélateur  ou pas terrible aussi ...
Enfin bref ...je tâche de publier quelque chose très bientôt !

Allez la bise ...

mercredi, avril 14, 2010

1 an, 1 mois et 1 jour ...

On est tous des cloportes et notre existence n'a pas vraiment de sens ...ni d'importance non plus.

'' Les gens sont cons ...au moins tout aussi cons que moi, ils ne savent plus parler, ne savent pas écrire et ne savent même plus se nourrir ...''


C'est vraiment pitoyable.


C'était mon histoire du jour ...